Aoi Sakurakoji [ F I N I S H !! ]

Bon alors d'abord ses principaux traits de caractères sont: Colérique, franche et intelligente. Aux premiers coups d'œil la jeune fille semble avoir un caractère désagréable, se qui est en partis le cas. Elle a horreur d'être contredit ou alors critiqué, elle ne fera soit pas attention, soit sera furieuse et le fera bien comprendre. Elle déteste aussi que quelqu'un lui dicte sa conduite, qu'il lui dise quoi faire mai en rechange aime bien donné des ordres, surtout à son majordome dont elle ne se rappelle jamais du nom, d'ailleurs, elle devrait essayer de lui trouver un surnom, comme ça se sera plus simple mais bon. Continuant sur notre lancé avec ses autres défauts, car oui elle en a encore. Cette jeune fille est très têtue, elle n'en fait toujours qu'à sa tête et tout se qu'elle dit, vous pouvait être sûre qu'elle le fait par n'importe qu'elle moyen. Bornée? Oui, elle l'est et ne s'en cache pas, quoi que vous pouvez dire, c'est elle qui a tout le temps le dernier, même pas la peine d'essayer par exemple de vous faire pardonner, elle est rancunière, très rancunière, mieux vaut n pas lui faire quelque chose de mal, à elle ou à ses rares amis qui ne l'a trouve pas trop insupportable.

Mais malgré tout ses défauts (je ne les sites pas tous) elle n'est pas une fille méchante, au contraire, elle peut être très gentille si vous le méritait. Aoi est franche et est comme elle est, elle n'en s'en cache pas, si tu l'aimes comme ça, alors il n'y a pas de raison pour qu'elle te déteste. Un autre point positif qui peut devenir très vite négatif, c'est qu'elle n'aime pas mentir, donc elle ne ment pas souvent, juste peut être si elle en a vraiment besoin.

Elle se méfit beaucoup des autres, se qu'ils pourraient lui faire, elle se dit que les personnes vraiment dignes de confiance sont très rares et enfin, cette petite japonaise est assez timide et peureuse. Oui oui, timide ET peureuse. Mais elle cache cela derrière des crises de colère ou par d'autres moyens.
C'est tout je pense.

Goûts : La chose qu'Aoi aimait le plus au monde lui a était arrachée quand elle n'avait seulement que 10 ans, sa maman. Mais il lui reste ce collier qu'elle avait elle même reçu de sa mère. C'est une petite chaine en or avec une petite coccinelle qu'elle porte tout le temps ou presque. 'est cette petite chose qu'elle aime le plus, mais il y a aussi la musique t la gymnastique qu'elle pratique depuis toute petite. Se qu'elle aime le moins serait les personnes qui se mêlent trop de se qui ne les regarde pas, elle n'aime pas avoir à s justifier et parler de se qu'elle préférerait éviter, c'est ça qu'elle déteste le plus je pense.

Rien de bien particulier à part qu'elle est gauchère et très souple car elle fait de la gymnastique depuis longtemps et elle a une grande mémoire visuelle, c'est sans doutes pour ça qu'elle est si intelligente, même sans avoir révisée, chose qui n'ai pas son fort, elle a de bonnes notes, injuste, hein?

Pour bien vous raconter l'histoire d'Aoi, il nous faut commencer par le commencement (Logique, ne?) Et pour cela, nous devons revenir il y a 19 petites années en arrières, le 2 septembre 1990, jour où la jeune Sakurakoji vu le jour pour la première fois. Le jour où ses premiers cris résonnèrent dans les couloirs d'un grand hôpital de Tokyo. Aoi, fut le nom de la grand mère paternelle de la jeune fille, décédée quelques mois seulement avant sa venue au monde. Un joli bébé qui fit le bonheur de ce couple qui avaient eut tant de mal à avoir un enfant. Ce couple étant formé de Kazuma Sakurakoji, photographe japonais et Cheng Lin, une superbe corréenne, travaillant également dans la photographie.

C'est dans une maison maison de la capital nipponne qu'Aoi fit ses premiers pas, prononça ses premiers mots et alla pour la première fois à l'école. On ne peut pas dire que son enfance fut très différente des autres, mise à part au bout de ses dix ans. Elle commença alors à comprendre qu'entre ses parents, il n'y avait plus beaucoup d'amour, du moins plus du côté de son père, vu les conversations de ces derniers qu'elle avait surprise plus d'une fois. Son cher père bien que gentil n'avait de cesse de tromper sa femme avec une jeune femme qui travailler avec lui dans ses moments là. L'homme ayant également un cœur d'artichaut regardait toutes les femmes qu'il croisait en fessant de moins en moins attention à la sienne. C'est comme ça que la petite fille qu'elle était commença à, pour ainsi dire, détester son propre père, pour le mal qu'elle voyait bien qu'il fessait à sa mère. C'est lors d'une de ces conversations que sa mère sortit de la maison, en colère contre son mari qu'elle avait surpris avec toujours cette autre femme. Mais la jeune mère d'Aoi ne revint jamais à la maison ce soir là. Une heure un peu près après son départ le téléphone sonna et son père décrocha. 0 A l'autre bout du fil, c'est sans doute un médecin qui répondit. Aoi en haut des escaliers, attendant le retour de sa maman comprit bien vite se que la personne venait de lui annoncer vu comment réagissait son père.

Quelques jours plus tard, Cheng Lin fi enterré, elle avait fait un accident de voiture, et était morte sur le coup. Aoi étant très proche de sa mère fut alors très bouleversée par sa disparition soudaine. Son père lui, sembla vite s'en remmètre. 3 moi seulement après sa mort, le père d'Aoi se remaria, avec l'autre femme, Aoi finit alors par réellement détester son père, il avait littéralement oubliait sa femme pour continuer de sourire comme si rien n'était arriver. La jeune fille arrêta de parler avec son père.

Sept ans après, Mr. Sakurakoji divorça d'avec sa seconde femme et se remaria très vite avec une autre, une jeune mannequin asiatique, très riche, rencontré lors d'un séance photos. La jeune fille quitta alors sa petite maison pour s'installer dans la grande résidence de sa nouvelle belle mère. Cette femme ne l'aimait pas trop, et cela devint rapidement réciproque. Elle n'avait de cesse de la critiquer, dans sa façon de s'habiller, de parler et autre. N'étant pas habituer à se comporter en petite princesse comme elle pourrait se permette de faire, elle se fit encore plus détester par celle-ci et la guerre fut déclarée. Mais c'est après un acte de trop, à savoir couper les cheveux de sa belle mère pendant sa sieste qu'elle fit envoyée dans une grande école pour petite fifille à papa par le couple et fut aussi assigné un majordome dont elle ne voit pas trop l'utilité mais assez sympatique.

Il n'est pas très doué pour son boulot et semble faire tout de travers, mais bon... Elle le trouve plutôt sympathique même si elle n'arrive pas à retenir son prénom, et puis tant qu'il fait ce qu'elle lui demande, elle n'a pas de raison de le maltraiter!