Narumizuka Hadori
Super adminette
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Date d'inscription : 25/10/2009
Age : 37
Who I Am?
Age:: 18 ans
Relations ::
Pts forts/faibles::
 | Sujet: Narumizuka Hadori  Jeu 24 Déc - 22:16 | |
| A] I d e n t i ty
| Nom : Narumizuka
Prénom(s) : Hadori
Âge : 18 ans
Genre : Fille[X] Garçon[]
Orientation sexuelle : Hétéro
Catégorie : Lady[X] Majordome[]
Rang : Sole
Nombre de Stella : La clochette est complète |
B] C h a r a c t e r' s
D e s c r i p t i o n
Physique :
Une bouille adorable, voilà peut-être la première chose que l’on remarque si l’on croise la jolie Hadori dans un couloir de l'école. Sa petite taille et sa fine silhouette bien dessinée font d’elle une demoiselle tout à fait ravissante aux yeux des autres, autant des femmes que des hommes. Souvent qualifiée de « kawaï », Hadori possède ce visage à mi-chemin entre la bouille enfantine et l’adolescente encore en pleine croissance, ce visage pas encore bien adulte malgré ses dix-huit ans. Cela dit, vous la verrez rarement sourire, la seule expression qu'elle arborre n'est autre qu'un visage neutre et dénoué d'émotion. La jeune femme possède un visage légèrement arrondi et pas très grand, ajoutant encore davantage à son charme naturel et lui donne l'air d'une petite poupée de porcelaine. Des yeux marron clair dont elle est fière et reflètent en majeure partie les rares sentiments qu’elle veut extérioriser pour les partager. On ne lit pas en Hadori comme dans un livre ouvert, mais lorsqu’elle veut faire ressentir quelque chose en particulier à une personne, tout est dans le regard, sachez le. Ainsi, si la demoiselle vous parle très sérieusement, un conseil regardez la droit dans les yeux, comme ça vous saurez bien vite si elle est en colère ou triste. Enfin, si elle veut bien vous le montrer …
Des doigts fins et soignés. Hadori ne porte pas ses ongles longs, ce qui l'empêcherait de jouer convenablement du piano, mais n'empêche pas Chihiro de les soigner à la perfection. Elle le laisse parfois mettre du vernis coloré pour égayer son apparence. Souvent, c’est du rose ou du orange pêche qui trône sur ses ongles soignés.
Quant à sa chevelure, la demoiselle change plus ou moins souvent de coupe mais en général garde ses cheveux à une longueur respectable, dépassant les épaules et descendant vers la poitrine sans l’atteindre. D’une belle couleur châtain, soyeux, elle se plaît à essayer diverses coiffures, allant de la banale queue de cheval à la queue de cheval en panache éparpillée dans tous les sens mais les garde la plupart du temps détachés et ondulés. Elle possède une grande mèche effilée mais plus ou moins droite qui couvre son petit front et ses fins sourcils, s’arrêtant juste au niveau des yeux sans les cacher.
Caractère :
En apparence, la jeune Hadori ne dégage aucune chaleur ni aucun sentiments. Pourtant elle n'est pas pour autant dénuée de caractère. On lui a simplement toujours appris à les contenir. Mais si une personne avait un jour la patience de vouloir la connaître en profondeur, il découvrirait beaucoup de chose que Hadori ne laisse jamais sortir de son esprit. Bien sûr, elle n'est pas patiente et calme qu'en apparence, ces qualités lui sont réellement propres et font son quotidien. Elle peut aussi paraître dure dans ses propos mais c'est simplement parce qu'elle ne veut pas se montrer faible, chose qu'elle n'a absolument pas le droit d'être. Le plus souvent c'est Chihiro, son majordome, qui en est la victime, elle en est bien souvent désolée et ne manque pas de s'excuser auprès de lui lorsqu'ils sont seuls. Elle n'aime pas l'image qu'elle donne d'elle mais ne connait rien d'autre et sait pertinemment que c'est l'attitude que l'on attend d'elle. Attentive, elle est digne du rang qu'elle a atteint et est toujours prête à aider les autres ladies lorsqu'il le faut. Plutôt silencieuse, elle n'ouvre pas la bouche sans raison et parle toujours après réflexion. Pourtant le soir, lorsqu'elle est seule avec Chihiro dans sa chambre, elle doute de ce qu'elle souhaite, de ce qu'elle fait sans arrêt.
Goûts :
Hadori aime la musique et en particulier jouer du piano seule dans la salle de musique de l'école. La solitude également, le bruit et les mots la fatigue et l'ennui bien souvent c'est sans doute pour cette raison qu'elle ne fréquente pas beaucoup les autres. Chihiro lui est très cher également, bien sûr il est son majordome mais il est également son ami et le seul qui ne lui demande jamais d'agir comme une lady.
Ce que la jeune femme déteste ? Quelle importance ! Une lady ne doit jamais se plaindre de toute manière. Quoi ce n'est pas une réponse... Alors disons sa propre vie sans doute, elle n'a jamais demandé à entrer dans cette école, elle a tout simplement obéï. Bien sûr elle ne rêve pas d'autre chose que cette vie puisqu'elle ne connait que ça. Hadori pense surtout que, dans son cas, le rêve serait douloureux puisqu'il n'y a aucune chance pour qu'il se réalise. La vie est ainsi...
Signes particuliers :
Hadori possède une seule cicatrice, souvenir du seul moment où elle a tenté de prendre sa vie en main.
C] C h a r a c t e r' s
B i o g r a p h y
Histoire :
Avant toute chose, il est important de connaître une chose sur l’existence de la jeune fille. Un point important qui résume parfaitement en une phrase l’histoire qu’elle a construite depuis sa naissance. Narumizuka Hadori n’a jamais disposé de sa propre vie. Tout a été programmé, imaginé et guidée… A partir de là, vous pouvez aisément comprendre ce qui la rend tellement froide et insociable.
Lorsqu’on est petit, on n’a pas encore la capacité de comprendre les adultes. Tout est si compliqué et futile en même temps. On ne pense qu’à jouer, faire des caprices, pleurer aussi un peu sans raison mais surtout recevoir de l’affection. Les parents d’Hadori, bien qu’extrêmement riches, ne se sont pas privés de lui en donner ou du moins, l’affection nécessaire qu’ils disposaient et étaient près à lui offrir. Mais Hadori ne se plaignait pas ni n’en souffrait particulièrement, elle avait une nourrice pour elle seule et cette femme était particulièrement adorable et dévouée pour elle. La fortune de ses géniteurs lui permit de ne manquer de rien matériellement. Mais même enfant, Hadori aurait été capable de dire qu’à travers l’un de ses caprices pour posséder un poney ou aller à la fête foraine elle ne souhaitait que l’attention de sa mère et son père.
Les enfants nés dans des foyers sociaux comme le sien sont souvent enviés des autres, sous prétexte que la vie leur est plus facile car avec l’argent tout est possible et accessible. Oui mais l’argent ne peut pas tout offrir… Et Hadori finit par s’en rendre compte en grandissant que malgré toute la fortune qu’il lui était mis à disposition, elle était incapable de posséder l’amour de ses propres parents.
Loin d’être enfant unique, elle ne se découvrit pas réellement d’affection pour son jeune frère. Avec huit années d’écarts, elle ne voyait pourtant pas en lui une quelconque menace pour elle dans le cœur de ses parents. La vie qu’on leur offrit ne leur permirent pas réellement de créer des liens très forts ni de pouvoir se soutenir l’un l’autre car deux ans plus tard, la jeune fille fut envoyée dans un pensionnat de jeunes filles de bonnes familles.
Elle était une Narumizuka et de ce fait, il était inconcevable qu’elle ne dispose pas d’une éducation parfaite. Tout était toujours excessif, que ce soit l’école comme les soins qu’elle devait subir ainsi que les vêtements qu’on lui demandait de porter.
Un jour, elle fut rappelée chez elle durant une période de vacances de son école. Ni son père ni sa mère ne se déplacèrent pour venir la chercher et ce fut sans doute la première fois qu’elle rencontra celui qui serait son futur majordome. La raison de son retour dans le foyer familiale n’avait rien à voir avec ce qu’elle espérait le plus. Son père l’avait fait revenir pour lui avouer le projet qu’il avait pour son avenir. Lorsqu’elle aurait seize ans, elle rejoindrait la meilleure académie pour filles du pays afin de recevoir la meilleure éducation pour devenir une parfaite héritière de la famille mais surtout une future épouse qui honorerait leur nom.
Hadori n’avait alors que quatorze ans et avait toujours cru jusque là qu’il fallait qu’elle se montre patiente et que le moment venu, elle pourrait déployer ses ailes et s’épanouir loin de ce monde. Cette nouvelle fut comme une bombe lancée dans son petit jardin secret qu’elle se gardait de dévoiler. Durant son séjour au sein du foyer qui l’avait vu grandir, elle se réfugia dans le mutisme. Elle était terrifiée et complètement anéantie d’apprendre qu’elle ne s'appartenait pas. A cet âge, on a des rêves plein la tête, on s’imagine qu’on pourra tout faire et que rien ne serait nous arrêter. Pourtant pour la jeune fille, on venait de lui annoncer que le simple fait de rêver sa vie lui était totalement inaccessible.
Il ne fallut pas longtemps, après son retour au pensionnat, pour que la demoiselle ne tente de se révolter. Pour une autre adolescente, on trouverait cette attitude normale, mais pas avec Hadori. Elle commença par se relâcher dans ses études puis au niveau de son comportement. D’abord désintéressée, elle devint rapidement rebelle et impolie. Parfois même, elle se montra vicieuse sans jamais user de violence envers les autres. D’ailleurs jamais ses camarades n’eurent à subir des dérives du nouveau comportement de la jeune fille, elle n’en voulait qu’aux adultes… Mais malgré tout le mal qu’elle pouvait se donner pour contrarier l’image de sa famille et ainsi obtenir un compromis, rien ne se passa comme elle le souhaitait.
Une nuit, ne supportant plus ce qui lui pendait au nez et fatiguée de se démener pour obtenir le droit de choisir sa vie, Hadori décida de changer de tactique. Puisqu’elle n’obtiendrait pas ce qu’elle souhaitait en le demandant, alors il faudrait qu’elle se débrouille seule. Sans un bruit, elle sortit de son lit et passa des vêtements amples et chauds avant d’enfiler de bonnes chaussures. Elle fit son lit et rassembla quelques affaires, celles qui lui seraient utiles. Quand au reste, elle prit soin de les ranger dans les énormes valises qui lui avaient servi pour les amener au pensionnant. Par ce geste, elle souhaitait laisser un message derrière elle, elle n’avait plus envie de tout ce luxe, elle voulait juste vivre comme elle l’entendait. Sans un regard derrière elle, elle fila par la fenêtre et se précipita le plus loin possible de cette école et de tout ce que cela représentait pour elle.
Les responsables de l’établissement ne s’en rendirent compte qu’au petit matin juste avant de prévenir ces parents qui s’empressèrent de tout mettre en place pour la retrouver. Ce qui ne tarda pas à arriver…
Hadori s’était bercée d’illusions en pensant fuir sa cage dorée. Tout ce qu’elle avait sur elle venait de ses parents et notamment la fine montre en argent surmontée de pierre précieuse qui contenait une minuscule puce électronique. Un gadget technologique qui servait de transmetteur à quiconque pouvant tracer l’objet et qui avoua rapidement l’emplacement de la jeune fugueuse.
La suite, Hadori ne risque pas de l’oublier… Elle fut ramener de force chez ses parents et se fut la seule fois qu’elle put voir son père éprouver un quelconque sentiment envers elle. Enfin voir… Excédé de l’attitude de sa fille, l’homme d’affaire ne retint pas sa main qui s’abattit avec violence sur la joue de sa fille. Sous la force du coup, Hadori fut projetée en arrière et finit sa course en traversant la petite table basse en verre du salon, lui ouvrant au passage, l’intérieur de son avant bras. Sans doute son père ne se serait-il pas arrêté là si Nagata Chihiro n’était pas intervenu.
Après cet incident, Hadori cessa définitivement d’avoir une opinion sur son avenir. Les jours qui suivirent, elle les passa dans sa chambre et seul son futur majordome fut autorisé à venir la voir pour la nourrir et panser sa plaie. Le silence devint rapidement son lot quotidien. Malgré tout le désintérêt qu’elle montrait à disposer d’un larbin, elle fut surprise de jamais le voir baisser les bras et continuer à la servir sans jamais la juger. Parfois, elle crut même voir en lui un semblant d’affection pour elle. C’était agréable et douloureux à la fois et Hadori se défendit de cette attitude en le repoussant violemment. Mais malgré tout, il ne changeait jamais et persistait. Elle lui en était reconnaissante. Elle avait besoin de sa chaleur pour survivre et accepter son sort.
Lorsqu’elle entra à St Lucia, la très renommée académie pour future ladies, elle ne dit pas un mot, elle n’était plus qu’une enveloppe vide que seul Chihiro parvenait à animer à force d’acharnement. Le seul intérêt qu’elle trouva dans cette école ce fut de quitter une nouvelle fois le foyer familiale pour ne plus le retrouver.
Relations :
| Nagata Chihiro : Ce jeune homme dévoué et attentionné ne peut être que son majordome. Elle n'a rien contre lui bien au contraire. Il est vrai qu'elle est loin d'être aimable et tendre avec lui mais elle est comme ça et espère qu'il ne le prenne pas pour lui. Même si elle ne le crie pas sur tout les toits, Chihiro lui est malgré tout indispensable et elle ne pourrait se passer de sa gentillesse et de sa prévoyance à son egard. |
D] U s e r 's
I n f o r m a t i o n s
Pseudo / Prénom : Shuu bien sûr !
Âge : 22 ans T.T
Comment avez-vous connu le forum ? : Je suis dieu ici !
Fréquence de connexion : 5/7
Personnalité sur l'Avatar : Kiritani Mirei
Prédéfini ? Oui
Double-Compte? Non
Dernière édition par Narumizuka Hadori le Mer 30 Déc - 1:03, édité 3 fois | |
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Narumizuka Hadori
Super adminette
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| | Sujet: Re: Narumizuka Hadori Mer 30 Déc - 0:08 | |
| Hop je m'auto-valide héhé ! | |
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